Les grandes marques de maroquinerie françaises s'exportent très bien à l'étranger et le Japon constitue un des marchés les plus rentable pour celles-ci ; Vuitton, pour ne citer qu’elle, réalise plus d'un milliard d'euros de chiffre d'affaires sur le territoire nippon.

Depuis quelques années, des études très sérieuses menées sur le sujet confirment que de plus en plus de japonaises utilisent non plus les sacs eux-mêmes mais les sacs cartonnés de ces marques.













Les données ci-dessus indiquent clairement que lors de l'achat des sacs, les japonais attachent une importance certaine au choix du sac d’emballage qui va non seulement être utilisé pour ramener le sac à main à la maison mais va être maintes et maintes fois utilisé dans la vie de tous les jours pour afficher un standing ou par commodité.

D'après les utilisateurs de ces sacs, les raisons sont multiples, cela permet de séparer les biens utiles (téléphone portable, portefeuille, cosmétiques) des biens "secondaires" tels que les livres, le bento (boîte contenant un petit repas) ou encore les cahiers de texte pour les étudiantes.

















L’utilisation dérivée et parallèle de ces sacs traduit surtout un désir de paraître, de faire illusion, de suggérer que l'on a de l’argent, que l'on a acheté un produit onéreux.

Des études montrent que de nombreuses personnes n’ont jamais acheté réellement de sacs de luxe mais uniquement ces sacs en papier pour le faire croire.

Culte de l'apparence, quand tu nous tiens....